Approche spatiale intégrée pour une stratégie de restauration écologique des milieux estuariens de la Seine

Le besoin de définir une stratégie globale de restauration de la fonctionnalité estuarienne et de ses services écosystémiques est reconnu par les acteurs du territoire depuis plusieurs décennies.
Jusqu’à présent, la majorité des projets de restauration écologique mis en œuvre en estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de Seine sont définis à l’échelle parcellaire, afin de compenser les impacts locaux induits par les nouveaux aménagements. Bien que ces mesures puissent avoir un impact positif à petite échelle, elles n’ont pas réussi à inverser la tendance de dégradation écologique de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More à plus grande échelle.
La planification et la mise en œuvre de projets de restauration écologique d’envergure impliquent la prise en compte du développement économique du territoire, des enjeux fonciers, de l’acceptation sociétale et de l’évolution des services écosystémiques associés au fonctionnement estuarien. L’identification des zones à fort potentiel pour la restauration, prenant en compte les plans d’aménagement territoriaux et les gains écologiques potentiels, sont ainsi nécessaires pour la mise en place d’une stratégie de restauration globale.

L’objectif général du projet PROMESSE est de soutenir une réflexion stratégique de restauration à l’échelle de la vallée de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine.
L’analyse prévoit la prise en compte des besoins écologiques de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More,  l’offre foncière et la faisabilité des projets de restauration. A ceci s’ajoutent aussi les besoins socio-économiques, notamment en termes d’adaptation aux effets du changement climatique (i.e. création de zones d’expansion des eaux afin de diminuer le risqueConfrontation d’un aléa et d’une zone géographique présentant des enjeux. More de submersion/inondation dans des secteurs à enjeu urbain ou industriel).

La démarche repose sur la mise en place d’un Système d’information Géographique (SIG) multi- thématique et intégré. Les différents paramètres structurant, d’une part l’organisation du territoire et son fonctionnement socio-économique et de l’autre le fonctionnement physique et écologique de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More sont pris en compte.

A partir de cette analyse, il sera ensuite possible de mieux calibrer et dimensionner des objectifs surfaciques quantifiés pour remédier aux altérations du fonctionnement physique et écologique de la vallée.